Dans le placard de la belle Histoire, les tasses font tache. La tasse, dans l’argot du siècle dernier, c’était la vespasienne. Érigées dans l’espace public à l’heure de l’hygiénisme, les vespasiennes (autrement dit, les pissotières) devaient répondre aux besoins naturels de la population masculine. En privé, les tasses ont répondu à un besoin social. Des hommes en quête d’identité y ont posé les premières pierres du vivre ensemble. PRIX SADE 2020 DU LIVRE D'ART
ISBN | 978-2-9553078-6-1 |
Auteur | Marc Martin |
Nombre de pages | 300 pages |
Êtes-vous sûr de vouloir effectuer cette action ?